Si je comprends bien ce raisonnement, le développement des tribus ne commence QUE lorsque celle-ci commence à jouer ?
Avant, elles ne sont que de misérables hardes sans même une toile à se mettre au-dessus de la tête (vu qu'on ne peut développer "d'habitation", même nomade QUE via le jeu virtuel), mais aussi crasseux ! (car pas de "lavoir")
Ce qui signifie donc que depuis des siècles, la population kelt végète dans un état déplorable, mais que depuis 3 ans, une soudaine puissance économique tombe du ciel et fait émerger une demi-douzaine de tribu (environ ?)...
Or, la carte montre pourtant des villes qui ne sont attribuées à aucune tribu (et on ne peut pas dire qu'elle appartient au "Clan" puisque le Clan n'est pas une entité en soi, mais un rassemblement de Tribu !)
Quel drôle de monde vous nous dépeignez là !
Je comprends tout à fait l'intérêt d'inféoder la puissance d'une tribu (d'un groupe) au jeu virtuel, mais ne serait-il pas plus cohérent de permettre un développement "de bg" en parallèle ? En cela, les constructions privées et sans véritable rayonnement comme "habitation, étable, puits, lavoir" me semble être un gros frein.
Pourquoi ne pas axer le jeu virtuel uniquement sur un principe d'interaction
particulièrement importante avec les AUTRES groupes ? (apport
conséquent de richesses économiques, capacité de défense
particulièrement efficace...) De la sorte, vous feriez de Galaté un espace de vie plus équilibré tout en préservant l'intérêt du jeu virtuel : ainsi, une tribu peut tout à fait avoir sur son territoire, des commerces, des forges, des forteresses, mais elles sont d'un niveau "basique". Pour les améliorer (et que cela apporte un avantage de jeu) il faut y consacré des "points de renom"... de fait, c'est exactement cela !! Telle tribu est "renommée" pour sa forteresse, telle autre pour son auberge...
Et vous pourriez même y mettre des "niveaux"...
Laissez aux joueurs le soin d'expliquer pourquoi, même s'ils se disent d'une tribu puissante, les autres tribus ne les écoutent pas plus que cela ou ne font pas de commerce avec eux. Ce serait tellement plus riche que d'imaginer une sorte de base grouillante et informe dont s'extirpent des tribus comme les kobolts d'un donjon, à mesure que les GN passent...
Je m'excuse d'avance si j'ai l'air de vous faire une "leçon de gestion de monde", mais la réponse de Kil m'a tellement abasourdie... Je ne peux pas concevoir de jouer dans un monde dont les principes de développement internes sont inféodés à un principe de jeu externe. Ce n'est pas ma conception d'une immersion réussie.